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Wet in Paris
l'impression d'avoir les yeux plein des stries jaunes, rouges, que l'on a d'un pont sur l'autoroute
et de ne pas encore avoir compris les voitures, le mouvement, les couleurs même
d'être ainsi pris dans le tourment des lignes vives
faute de pouvoir prendre
un instant
pour comprendre. Le pourquoi, dirait-elle. Le pourquoi, pour cette fois.
je dois préférer voir ces écorchures filer vers le rouge. je préfère l'image sans son créateur.
L'horlogerie sans horloger. Le tic-tac de ces jolies choses devrait suffire.
Tant que je n'ai pas compris pourquoi les lumières se sont allumées. Pourquoi elles se sont mises à bouger
Pourquoi cette réunion singulière de lumières crues sous une certaine pluie, un certain soir
pourquoi les images encore surnagent sur la rétine
savoir, pour ne pas guérir
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Commentaires
2(sorry i had to)Mercredi 17 Mai 2006 à 21:393aboard on board abroDimanche 21 Mai 2006 à 19:534*you've got mail onDimanche 21 Mai 2006 à 21:115***Dimanche 21 Mai 2006 à 21:32blues
it's 30330 and it's still there and sure it looks strange now but it's there and it's close and that's all that matters - les choses là aussi bizzaroïdes soient elles -6*Dimanche 21 Mai 2006 à 22:077stella(was always doDimanche 21 Mai 2006 à 22:498wonderwondersLundi 22 Mai 2006 à 08:36turnonthe(bright)lights
where's that other side you wrote onto ? where's that wall -- can't see its other side -- pleasegivedirection ---- que je pense à quoi ? quel "it" ? tant de "it" dans l'entre-monde que je ne sais duquel tu parles. All those stepping stones, all in one jump.9morning full of windLundi 22 Mai 2006 à 09:59wherearewe
le mur de ma guerre à moi, du côté des carnets qui s'ouvrent.Ni le tiens, ni le bleu, le mien. All right ?10***Lundi 22 Mai 2006 à 20:38
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"what about now."