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début de petite nuit
Le stigmate que l'on s'offre
ces bijoux trop lourds que l'on glisse aux poignet
parés d'une couleur trop sombre, trop dense,
un oeil si noir qu'il ne peut être sondé
je ne devine plus d'autre écho
mais voilà, les reflets de ces ors dont on s'aveugle
n'ont pu cacher la frénésie du métal qui vivrait dans mes mains
si je l'y prenait
si il acceptait de se cacher en pleine lumière
F siffle à tue-tête
admirer ses notes me ferme les yeux
ne rien dire, souvent, tout emporter vers une nuit
généreuse et assez noire pour y cacher les reflets, les notes, les
irisations qui se tissent
sous les paupières closes
hérissées par les heures noires,
embusquées, elles
rodent autour de corps offerts comme des proies consentantes
et qui ne s'endorment qu'avec la certitude douce-acide d'être hantés
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Commentaires
2*Vendredi 12 Mai 2006 à 08:54eko
il n'y a que ça qui pousse ici. sur cette terre étrange et salée. d'un horizon à l'autre, des tiges sans fleurs aux couleurs crues. rien à cueillir, ce ne peut être que dit.3l'autreSamedi 13 Mai 2006 à 14:51*
j'voudrais savoir, est ce que je t'ai dit merci? et ce que je t'ai dit d'aller te faire foutre ? et ce que je t'ai dit pardon ? et dans tout ca, qu'est ce que j'aurais du dire? Je veux que tu me le dises. J'ai pas dis "je voudrais" ni "dis le moi s'il te plait", j'ai dit je veux que tu me le dises- est ce que c'était bien? C'etait quoi? Est ce qu'il subsite quelque choses? j'en ai rien a foutre de tes tiges sans fleurs, je veux une reponse/ apres tout pourquoi je me generais moi pourquoi il faut que moi je moi je moi je moi je me protege et toi ca part tout seul. est ce que je t'ai dit aurevoir? est ce que je t'ai dit a plus tard, a bientot ? j'me souviens plus, dis le moi.
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Y'a toujours cette notion de "tant qu'on y est".Toujours ces bouts d'yeux noirs quand il fait nuit.*********. C'est ce que j'arrive pas a m'expliquer.Toujours cette notion d'absurde et de présent et d'incontrolable en même temps.Et puis on éteint et.